Bruno Jobard

Cher Bruno, Je me souviens avoir fait partie avec toi de cette petite famille lil-oise au sein de laquelle nous avons partagé tant de bons moments. Nos chemins se sont ensuite séparés mais des flashs me reviennent souvent, comme cette soirée que nous avons passée chez moi à Calais, jusque tard, à refaire le monde, comme tu savais le faire avec un esprit vif et observateur. Merci pour ces bons souvenirs qui resteront gravés dans ma mémoire. Mes pensées vont aujourd'hui à ta famille, et à tou.te.s celles et ceux qui, comme moi, ont eu le privilège de croiser ta route pendant quelques années. Nouredine.

C'est avec une grande tristesse que j'ai appris cette terrible nouvelle. Bruno et moi étions tous deux étudiants en doctorat au même moment à Calais. Nous avons partagé pendant plusieures années des moments de travail certes, mais aussi et surtout des moments de partage, de joie, de doutes, de confidences qui me reviennent tout à coup en tête comme si c'était hier. Tu n'auras pas réussi à m'apprendre à faire du monocycle, mais j'aurai tout de même retenu les leçons de jonglage. Des moments si futiles, et en même temps si précieux ... Je vous présente mes plus sincères condoléances. François.

Bruno, même si nous étions éloignés par la distance et que le temps avait espacé nos relations. Je me souviens avec émotion, plaisir et tendresse des formidables moments que nous avons passés lors de notre jeunesse à Calais où tu venais d'arriver comme jeune thésard. Je me rappelle comme tu avais essayé de nous initier aux arts du cirque, jonglage, mono-cycle,... ce qui entraînait à chaque fois des séances de fous rires. Pour moi, tu resteras à jamais cet ami plein d'insouciance de vivacité et de douce folie

Je vous présente à tous mes sincères condoléances ainsi que celles de Philippe, Gaël et Tanguy. Nous nous étions éloignés avec Bruno cette dernière décennie, mais nous sommes bouleversés par son décès, nous perdons notre "petit frère" avec qui nous avons partagé tellement de choses lorsqu'il était à Calais: sa thèse, sa vie, ses doutes, ses envies, les amis, les enfants ... Il restera à jamais dans notre coeur. Nous vous accompagnons par la pensée dans votre peine. Affectueusement Virginie

Bruno, on avait presque le même âge… On était à Calais en même temps, au LIL ! Je me souviens de ta bonne humeur, des moments où on était jeunes et insouciants. Perdus de vue depuis des années mais toujours présent dans ma mémoire. RIP.